Valérie Pitre: traversing time: with Claudelle Labreque
Valérie Pitre, lead creator
Claudelle Labreque, collaborator, interpreter
The CM 2019 was conducted in English, French, Japanese and Greek. Notes are in the chosen language of the participant. Translation available at > translate.google.ca
Driving themes:
Démontrer l’effet des nouvelles technologies sur notre corps et sur nos sociétés au niveau des relations.
Créer un environnement visuel et sonore avec les fils électriques. Je veux rendre visible l’empreinte physique et psychologique que l’utilisation massive de ces technologies laisse sur nous et comment çela affecte nos relations interpersonnelles.
Goals:
Translate material from trio to solo exploration,
Plunge into the conceptual framework of the work.
Beginning with:
Strong thematic impulses
Clear aesthetic using real time, stillness, extended single images
Props: long lengths of electronics wires and cables
Lists of images and tasks to experiment with
Desire:
To ultimately to present the work as a durational installation in a gallery or public space.
Challenges:
“Carpe diem” - to seize the opportunity to test ideas of “duration” and “stamina” with a performer who is willing,
To go beyond the “test” to discover the extraordinary.
How to translate the creator’s inner visions and feelings for the work for her collaborator to transform into performance
Strategies:
Work with quality of movement as the motivator of the scenic structures.
Collaborators discuss ways to use cables as costume and as props.
Collaborators experiment with how-where to perform in the space.
Experiment with sustained time-based transformations of single images-action into another- sustained for 1-2 hours.
Invite viewers for short time-frame or for long time-frame. Viewers can move around the space to view from any angle. Observe viewers viewing.
Ask viewers questions about what-how they are seeing/feeling/engaging to gain insight about implied content and stamina of viewers re: sustained time-based performance
Discoveries:
Dancers simultaneously perform within time/rhythms that are different from each other, suggests that the personas are existing in different worlds.
Moving from an unfinished section to work on another section is productive.
Discussion points:
What is the difference between an installation work that evolves over highly extended time and a “dance piece” that has a beginning middle and end?
To practice:
“In the next year my goal is to work with this project with myself as creator and performer. At the CM last year, I was trying to put my intention and my personal feeling about this theme on to another person’s body but actually I realise that I need to be full part of it if I want to feel free about it. I also realise that I’m looking for a precise way of moving and that is hard for other people and at the CM I was wondering how to get the performing quality I’m looking for. Claudelle did good job but now I acknowledge that I have to do it myself.”
What next:
“Since the Choreographic Marathon I’m questioning a lot on what is my need about this project. I’m planning to keep this work going on but I would like to work with an external resource and Maxine was a really good helper during the CM, so I plan to have time with her in Quebec City to keep the work going. I’m also looking for space to experience this project like outdoor space or small event that could give me a nice environment to try new things. CM was a really good opportunity for me to get to know me and the project: What do I really want to say? What do I need to say with this project?”
Key words: evolution, revolution, patience, single focus, naked technology
Valérie Pitre (2019) native de Stoneham, Québec, Dès son jeune âge, elle découvre le mouvement par le biais du karaté et différents styles de danse, et à L’École de danse de Québec (EDQ 2014). Depuis, elle œuvre dans le milieu professionnel de la danse contemporaine de Québec comme interprète et se spécialise en danse gumboot avec la compagnie Les Malchaussées. Elle poursuit le développement de son bagage artistique avec des formations en danse percussive, soit La Grande Marée danse, un événement attendu chaque année par la communauté de danse percussive. À l’été 2018, elle s’est envolée pour le Ghana afin de participer à la 10e édition de L’International Body Music Festival. En Janvier 2019, elle quitte le pays pour participer au Circle Music Retreat avec Musica do Circulo, à Sao Paulo, au Brésil. Des formations enrichissantes et uniques. Elle est présentement en création d’un spectacle jeunesse avec la compagnie de gumboot afin de présenter l’œuvre finale en mai 2019.Elle a travaillé avec différents chorégraphes dont Alan Lake, Tedd Robinson, Harold Rhéaume, Karine Ledoyen, Yvann Alexandre (France), Geneviève Duong. Elle s’investit au sein du CA de l’organise de perfectionnement pour danseurs, L’Artère et dans le comité de programmation, depuis 2018.
Valérie plonge dans le domaine de la création chorégraphique et développe sa démarche artistique. Ses créations sont inspirées des problématiques sociales et environnementales ce qui lui permet de développer son langage chorégraphique personnel et unique. L’improvisation et le mouvement authentique sont le fondement de ces recherches corporelles. Elle présente sa première création de groupe avec son projet P=UI présenté dans le cadre du Carrefour international de théâtre et Les Chantiers/Constructions artistiques. Elle s’engage dans la création autour de recherches alliant l’installation et la performance. Plusieurs projets sont en cours avec différents d’artistes de Québec, Montréal et de la France. Elle a eu la chance de travailler deux années de suite comme chorégraphe invité avec la troupe de danse contemporaine du Cégep Limoilou. Interprète animée, Valérie fait partie des jeunes artistes de la relève de Québec qui veulent faire bouger les choses.
Claudelle H. Labrecque (2019) Après avoir obtenu son baccalauréat en théâtre à l’université Laval en 2013, Claudelle a poursuivi ses études au Conservatoire d’Art Dramatique de Québec – section scénographie – où elle a obtenu son diplôme en 2016. En 2017, elle entame des études en danse au programme préparatoire de mise à niveau à l’École de danse de Québec. En 2018, elle a eu l’opportunité de suivre un stage intensif de deux semaines avec l’artiste de renom Jan Fabre. Elle a notamment pris part à la création du B.A.M. [Bouillon d’art multi] qui vise à promouvoir la rencontre des différents milieux des arts de la scène de Québec. Elle collabore à titre de performeuse/interprète avec La Déchiqueteuse, Valérie Pitre, Keith Kouna. Depuis sa sortie du conservatoire en 2016, elle collabore à titre de scénographe avec le Théâtre Kata, La Brute qui pleure, Détour Nazareth, le Collectif Dans Ta Tête, le Collectif Les Reines. « claudellehlabreque.wordpress.